À l’occasion de la Journée Internationale de soutien aux victimes de la torture ce lundi 26 juin, le Pape appelle à arrêter cette «horreur».
C’est dans ce cadre que la directrice de la vie militante, Laurence Rigollet, a été interviewée par Radio Vatican.
Pour Laurence Rigollet, Directrice du pôle Vie militante à L’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (ACAT), «c’est un traitement cruel, inhumain et dégradant» qui «peut prendre énormément de formes, elle est donnée par des gens qui ont beaucoup d’imagination», explique-t-elle au micro de Vatican News.
Le problème ne touche pas seulement les dictatures, cela «arrive même dans les démocraties», précise-t-elle. « Après les attentats de 2001, les États-Unis ont mis en place dans la prison militaire de Guantanamo, dans le sud-est de Cuba, des interrogatoires dans des conditions difficiles pour obtenir des informations. Pour Laurence Rigollet, «ce n’est pas comme ça que l’on obtient des informations fiables». «Sous la torture on avoue n’importe quoi», remarque-t-elle.
Nous vous invitons vivement à lire la totalité de l’interview ici, et à l’écouter ici.